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Face au changement, nous ne sommes pas tous égaux et si pour quelques rares personnes une période de ce type annonce immédiatement de
belles perspectives, pour une grande majorité d’entre nous, nous devons dans un premier temps faire face à de vieilles peurs pour avancer. Lorsqu’elles s’activent, elles nous amènent à adopter un comportement visant à nous protéger : la régression. Retourner vers ce qui est connu est certes probablement rassurant voire très confortable mais la vie nous impose de savoir nous préparer au mieux à ces changements.

1. Identifier les peurs pour rassurer

La peur commune à tous est celle de l’inconnu : que va-t-il se passer en dehors du périmètre de ce qui m’est familier / acquis ? Elle n’est pas la seule à engendrer un comportement régressif : la peur de perdre sa vision d’ensemble ou de son savoir-faire ou encore de la reconnaissance de celui-ci, la peur de perdre en autonomie, celle de perdre en qualité de vie. Afin de se préparer et de préparer au mieux ses équipes, il est indispensable de dialoguer pour identifier les réticences de chacun afin de les combattre.

2. Rassurer et amorcer le changement

Nous sommes tous dotés des ressources nécessaires à l’adaptation et au changement. Pour accompagner ceux pour lesquels les craintes sont un frein à cette dynamique, il faudra échanger, comprendre le sentiment de chacun et envisager les conséquences que cela peut avoir dans leur système de croyances et de valeurs. Cette cartographie des doutes permettra d’amorcer une prise de conscience de l’irrationalité de ces angoisses, de l’insignifiance des conséquences réelles au regard du gain que va amener ledit changement.

3. Dépasser ses craintes et gagner en équipe

Une fois que chacun s’est exprimé sur le sujet, le virage pourra s’opérer plus aisément. Le bienfondé du changement n’est plus à prouver, seule la démarche reste obscure. “Le secret du changement c’est de concentrer toute son énergie non pas à lutter contre le passé mais à construire l’avenir.” Socrate